Onglets principaux
Route d'Épeisses 65
1237 AVULLY
022 756 12 58
Né à Genève en 1944. A enseigné à la HEAD Genève jusqu'en 2009, poursuivant son activité personnelle de dessin et de peinture. Expose depuis 1969 à Genève et à l'étranger.
1978 : rencontre d'un groupe d'artistes autour d'une investigation de longue durée de l'eutonie : création et manifestation du collectif « espace-corps » en 1984. Avec ce groupe, voir aussi expositions collectives « Passages » 1 à 3. Publication de ce groupe en 1978 et 1984.
1982 : dès cette date réalisation de plusieurs peintures murales dans l'espace public à Genève.
Expositions personnelles récentes
2012 Nyon, Galerie d'Art Junod, « Traces hautes »
2016 Confignon, Association Atelier Philippe Lambercy, « Entre murs et jardin » accrochage-installation de peintures.
2018 Nyon, Galerie d'Art Junod, « Temps suspendus »
Expositions collectives récentes avec catalogue
1999 Lancy, Villa Bernasconi, Gestes mesurés, Erwin Oberwiler collectionneur et architecte
2002 Genève, Villa Dutoit, peintures
2010 Lancy, Ferme de la Chapelle, "In Vivo" workshop avec figures d'après modèles, Cahier.
2010 Genève, Manoir de Cologny, "Passages 3" (Peintures), vidéo de la présentation de F.-H. Brou.
2015 Dieulefit, Maison de la céramique,"Pages d'argile"
2015-2017 Soral, Galerie Brot und Käse : "De bleu de bleu" et autres expositions collectives à Soral, Vidéo.
Peintures murales
1982 Lancy, Ecole primaire de Tivoli, cage d'escalier, mentionné dans « Ville de Lancy, Art et Architecture : un cas d'École » (1965-2016), avec le film « L'âge de raison »
1987 Genève, IUPG, pavillon "Alpes-Voirons"
1989 Dardagny, foyer de la salle polyvalente
1992 Chancy, Temple de Chancy, panneau
1994 Genève, IUPG, pavillon "Les Champs", cinq peintures sur panneaux en relief
Oeuvres dans les collections publiques
Ville de Lancy, Ville de Genève, État de Genève, Confédération suisse
Peintures actuelles
Notre temps biologique s'accomplit, accompagné à chaque instant par le temps de l'éternité, notre gardien, mais aussi le lieu de nos projections.
Les toiles dévolues à ces préoccupations se succèdent, ces dernières années, s'enrichissant des flashs saisonniers, des événements aussi attachants que dérisoires de nos existences, des éclats tragiques du monde...
Des plages d'espace, apparemment vide, se déploient souvent en marge, protectrices ou abyssales, toujours en interaction avec le corps de la peinture qui subit les griffures et linéaments issus du temps individuel.